Lu quelque pages encore. Impossible de plus pour l’instant. Je me couche et regarde le ciel étoilé qui entre dans la chambre. La lune pose une ombre sur la porte fermée. Le monde peut germer, gonfler comme un monstre qui enfle. Et mes idées sont serrées entre moi et la nuit. Gracq dort contre moi dans un blockhaus trop gris pour appartenir entièrement à la terre.